Le rituel de mise en cage de chasteté par une Maîtresse déterminée

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il y a 9 ans

Le rituel de mise en cage de chasteté par une Maîtresse déterminée

Nous en étions à la phase du rituel de mise en cage. J’ai longuement planché sur la création d’un rituel « parfait », essayant de déterminer comment maximiser les effets. J’en suis venue à la conclusion que la première étape devait être l’épilation du sexe de la victime. Ce n’est pas simplement l’enfermement d’un sexe d’homme que je veux, c’est une castration, et je n’ai rien trouvé de mieux que de le faire revenir à l’état de petit garçon, imberbe comme lorsqu’il n’était pas sexué. La pilosité est certes un caractère sexuel secondaire selon la nomenclature mais elle n’en reste pas moins symbolique de la virilité. À défaut de pouvoir lui arracher les couilles je peux au moins lui enlever toute marque de maturité entre les jambes.

L’effet psychologique de l’épilation est d’ailleurs très fort, lorsqu’il est devant moi, tout lisse, il ne peut s’empêcher de baisser les yeux, comme s’il n’était plus digne d’être considéré en homme capable de me satisfaire. Sans être psy vous voyez derrière la peur de l’impuissance et la nécessite de jouer avec pour ne plus la craindre. C’est un raisonnement basique mais l’inconscient n’est parfois pas si compliqué que cela. Certains regardent des films d’horreur pour se faire peur, lui préfère jouer à « l’impuissant ».

Surtout que comme je le disais la dernière fois le corps du soumis est le terrain de jeu de la relation il était donc normal que je lui impose des « M u t i l a t i o n s » pour marquer ma propriété. Le terme est fort mais s’épiler, se percer les oreilles, se maquiller etc… Sont exigés des femmes si nous voulons être considérés comme désirables, comme si l’état naturel n’était pas suffisant. Je trouve normal que mon homme soit obligé de se soumettre aux mêmes exigences. La symbolique me plait, sans parler du fait que lors de la repousse des poils cela va le démanger et lui faire penser à son entrejambe, cela va l’obséder. Il passera son temps à vouloir chatouiller son instrument de supplice. Je suis gagnante sur toute la ligne.

Pour ne rien gâcher du plaisir j’impose que cette épilation soit effectuée à la pince, pour qu’elle soit longue et douloureuse, c’est un minimum. Évidement c’est à lui de pratiquer l’ensemble de l’opération, moi j’ai mieux à faire. Je le surveille du coin de l’oeil pour qu’il ne se sente pas trop libre mais je vaque à les occupations.

Pour être honnête, je dis que je vais faire autre chose mais en fait je n’arrête pas de penser à lui. J’essaye pourtant, je voudrais le mépriser en ne lui accordant que peu d’attention mais je n’y arrive pas. J’imagine l’humiliation qu’il doit ressentir lorsqu’il s’arrache sa virilité poil après poil, il est obligé de prendre en main son sexe sans avoir le droit de se donner du plaisir. Au contraire il doit lui faire du mal en arrachant tout ce qui dépasse cela doit le frustrer.

Comme je suis faible sur cet aspect je finis rapidement par revenir le regarder faire, le spectacle est tellement intense de mon point de vue vous n’imaginez pas. D’ailleurs c’est plutôt étrange, plus il perd sa virilité plus j’ai envie de lui, c’est comme si ce sacrifice me prouvait un amour indéfectible, si le fait de le voir s’offrir de la sorte me faisait l’aimer encore davantage. Évidemment coucher avec lui à ce moment serait totalement contre productif donc je me retiens.

Un de mes petits plaisir et de lui écrire sur la verge, sur la longueur, je laisse ma signature, ma marque pour montrer qu’il m’appartient. Cela peut passer pour une pratique insignifiante, ce n’est pas vraiment spectaculaire et pourtant l’effet est très fort. Lorsque nous sommes dehors je l’imagine portant cette marque. Je crois que lui aussi, il y a presque une fierté à ce qu’une femme marque sa propriété sur son sexe.

J’ai pris tout mon temps pour bien former chaque lettre « Ne pas toucher sans la permission d’Emilie. »

Je me suis reculée pour admirer mon oeuvre.

— Tu crois que ça se fait les tatouages permanents sur la verge ? il faudra que je me renseigne.

Il a fait une grimace en disant.

— Ça doit être douloureux.

Je lui ai lancé un regard noir, il s’est repris.

— Mais ce n’est pas un critère de décision pour moi. Si ça te fait plaisir je le ferais… Je voulais dire la décision ne m’appartient même pas. C’est toi est uniquement toi qui décides ce qui doit arriver à mon corps.

Bien sûr ce n’était que du jeu de rôle, tant pour moi que pour lui. Si je le mettais en situation de devoir se faire tatouer il réagirait vraiment. Je ne compte pas l’exiger mais nous étions dans un fantasme. Parfois il est bon de se laisser aller à imaginer passer certains caps.

J’ai dit sèchement.

— Je préfère ça.

Je l’ai vu retenir un soupir de soulagement, il a eu conscience d’être passé très près des problèmes. Il aurait pourtant dû s’attendre à des représailles.

— Ça te dirait une petite masturbation avant la fermeture ? Histoire de vider les stocks, la dernière fois avant longtemps.

Il a répondu avec un sourire gêné.

— Tu plaisantes encore, c’est ça ?

J’ai levé les yeux au plafond, j’ai mis une main sur le coeur.

— Je suis outrée par ces insinuations. Mais non ! je ne suis pas comme ça.

Nous avons rigolé en même temps. Il avait très bien compris où je voulais en venir mais que pouvait-il y faire ? Il était pris au piège, il était trop tard pour reculer.

J’ai pris sa queue en main pour commencer la masturbation. Je trouve que c’est une pratique intéressante de mon point de vue, contrairement à une fellation je ne suis pas trop près de son corps et je peux observer ses réactions lors de la montée du plaisir, c’est très instructif. Je peux savoir exactement quand arrêter pour qu’il n’ait pas d’orgasme.

Il rougissait à vue d’oeil ce qui ne me donnait envie que de le presser encore plus fort. Si vous n’avez jamais essayé je vous le conseille c’est idéal pour observer le pouvoir que nous avons sur eux. Leur tête est impayable, ils grimacent, ils serrent les dents au fur et à mesure que le plaisir monte.

Il savait que j’allais l’interrompre, il ne savait pas quand mais il savait que ça allait arriver. Pourtant une partie de lui voulait y croire, la tentation devait être trop forte.

Il a poussé un petit gémissement lorsque j’ai repris la parole, il sentait le moment fatidique arriver.

— Tu vois je ne suis pas si mauvaise. Est-ce que c’est dans ma nature de te faire du mal ? Réfléchi bien, est-ce que je t’ai déjà fait souffrir ? Je ne veux que ton bien.

J’ai marqué un temps d’arrêt, le temps d’esquisser un sourire démoniaque.

— Mais attend ! C’est vrai ! En y repensant je crois que tu as raison : je suis une sadique. Une pure et dure.

J’ai relâché sa queue d’un geste V i o l ent comme pour me débarrasser d’un objet dégoutant. Sa respiration est devenue haletante, il regardait sa queue redescendre doucement. Le plaisir s’éloignait et il ne pouvait rien y faire. Je me suis moquée de lui.

— Allez souffle. Suis le rythme des contractions et l’accouchement va bien se passer fillette.

Sa queue était à mi-chemin, il aurait suffi qu’il tente la main, l’orgasme était juste là, il n’y avait « que » moi en travers du chemin.

Je ne sais pas ce qui était le plus dur pour lui, voir sa queue descendre ou mon regard moqueur.

Je lui ai mis une tape sur la joue, c’était une vraie gifle en réalité.

— À la niche le cabot !

J’ai attendu quelques instants qu’il reprenne ses esprits avant de retourner le couteau dans la plaie.

— C’est dur de voir le plaisir s’éloigner ?

— Oui.

— Soit déjà heureux de ce qui t’arrive. Ça pourrait être pire.

— Si tu le dis.

Je lui ai lancé un regard noir en biais.

— C’est un défi ?

Il a paniqué.

— Non je te jure ! Je ne veux pas te défier. Je sais que c’est stupide.

Pas convaincue par son discours j’ai repris sa verge en main. Je l’ai serré bien fort avant de faire quelques mouvements d’avant en arrière. Il y a avait tellement de détresse dans son regard, c’était si bon. J’ai continué quelques instants avant d’arrêter.

— Je pourrais faire ça toute la soirée. Et toi ?

Vous pouvez imaginer la tête désespérée qu’il avait, les larmes aux yeux et pesant ses mots pour ne pas commettre un autre impair. Il aurait été synonymes d’une longue agonie.

— Tout ce que tu veux. Je ferais ce que tu veux. Tu ne veux pas que je te prépare un bain ? Un bon bain parfumé et plein de mousse ? Pendant que je te prépare ton repas préféré.

Je sentais qu’il voulait rajouter des choses pour surenchérir mais qu’il n’arrivait pas à trouver d’autres idées pour me faire plaisir. La proposition était déjà très intéressante comme ça il n’avait pas à s’inquiéter.

— C’est vrai ? Tu ferais tout ça pour moi ? « Volontairement » ? Que c’est choupinet.

J’ai relâché sa queue. En reniflant il a dit :

— Ton bonheur est tout ce qui m’importe.

— Je n’en doute pas une seule seconde … Et je peux même te dire que pour les semaines à venir ça sera de plus en plus vrai.

J’ai semblé hésité face à sa proposition, en réalité j’avais déjà pris ma décision mais je le faisais languir avant de la lui donner. C’est avec un sourire que j’ai dit :

— D’accord.

Il s’est relevé, content d’avoir échappé au pire. Dès qu’il a passé la porte je l’ai rappelé.

— Tu n’oublies pas quelque chose ?

Il m’a regardé d’un air surpris.

— Merci chérie.

J’ai ricané.

— Non pas ça. Ta cage.

Il était dans un état second, l’émotion lui avait tellement retourné l’esprit qu’il en avait oublié le but du jeu.

— Désolé, j’avais la tête ailleurs.

— Comme c’est étonnant. Les hommes n’ont jamais la tête là où il faut. Surtout lorsque ça vous arrange.

Il a eu l’air embarrassé, d’nue petite voix il a répondu :

— Je ne voulais pas me soustraire à la cage je te jure. Je reconnais que je mérite d’être mis en chasteté. Je n’oserais pas te tenir tête.

— Sur ce dernier point je sais que tu dis la vérité. À la douche. Ne traîne pas.

Mon intention était d’utiliser l’eau froide pour réduire la taille de son sexe et faciliter la mise en cage. Je me demande d’ailleurs comment c’est biologiquement possible que ça devienne comme ça, je veux dire aussi petit. Après un petit moment sous le jet elle se retrouve réduite, mais vraiment réduite. J’ai l’impression qu’elle voit sa taille divisée par 4 au moins. Bien sûr rire de sa petite taille fait partie du jeu mais je n’ai même plus à me f o r c e r à ce stade, on dirait un jouet. Je n’ai pas l’habitude de voir les hommes dans cet état.

En excitation le sexe des hommes est dur, avec les veines qui ressortent, il y a une impression de puissance comme les muscles lorsqu’ils sont contractés chez un bodybuilder. À l’inverse au repos après une douche froide il devient tout fripé et mou. Il n’a plus rien d’impressionnant, comme le sexe d’un bébé.

Désormais lorsque je vais à la piscine ou à la plage je ne peux m’empêcher d’imaginer l’état des hommes dans l’eau, vous savez ces jeunes persuadés d’êtres des apollons sortant de l’eau comme des héros. Je les imagine avec les bourses pas plus grosses que des noisettes. J’en rigole toute seule.

Il est passé dans la cabine de douche, a mis sa main sur le mitigeur pour le mettre sur froid mais n’a pas réussi à mettre la pression tout seul, pas si facile de s’infliger seul un passage au jet glacé. Il s’en veut, il n’aime pas me décevoir, surtout qu’il sait que si je suis obligée de le faire le supplice n’en sera que plus dur et plus long. Malgré la sombre perspective il n’arrivait toujours pas à se motiver. Un jour je trouverais un moyen de l’y contraindre, ce n’est qu’une question de patience.

Pendant qu’il écartait les cuisses et mettait les mains derrière la tête j’ai pris le pommeau de la douche puis j’ai fait jaillir l’eau vers son entrejambe. Dès qu’elle a touché son sexe il a poussé un gémissement puissant, il a presque fait un bond sur place. Je l’ai regardé, stoïque.

— Un commentaire ?

Ne voulant pas me contrarier il a essayé de jouer le jeu.

— Ce que tu fais est génial. Je ne peux pas contenir ma joie. Je t’en supplie continue.

C’est fou comme il semblait sincère. Le jet d’eau froide est un puissant moyen de t o r t u r e , il en est même dangereux pour ceux qui ont le coeur fragile.

— Ça c’est un bon gros jet. Il a de la puissance pas comme certains…

Il n’a rien répondu, je crois qu’il était ailleurs, sa queue venait de passer d’une masturbation à un jet glacé, il devait prendre très cher. La douleur était bien sûr un bonus intéressant mais pas mon intention première. Après quelques minutes elle est devenue toute petite et toute fripée. Il aime que je m’amuse en rigolant avec elle lorsqu’elle est dans cet état, que je la tienne comme si ce n’était qu’un asticot, la secouant entre deux doigts.

Je l’ai laissé se la sécher tout seul, je ne voulais pas le faire moi-même de peur de la faire repartir dans l’autre sens. Avec tendresse il m’a demandé.

— Elle ne va pas te manquer ?

J’ai gloussé.

— Qui te dis que je vais manquer de quoi que ce soit ? C’est toi qui dois rester chaste pas moi.

Je l’ai embrassé sur la joue.

— Et de toute façon si j’en ai besoin je n’aurais qu’à me servir. J’aurais la clé du garde-manger après tout. Ça sera juste à toi de me donner faim …

Des mots qui allaient résonner dans sa tête pendant un bon moment.

Je lui ai fait signe de s’agenouiller à côté de la boite renfermant l’objet de son supplice. Machinalement il a aligné chaque pièce les unes à côté des autres sur une serviette. J’insiste pour qu’il s’enferme lui-même, je ne me réserve que la partie avec le cadenas. Une fois les pièces préparées il a commencé à enfiler les morceaux. D’abord l’anneau derrière les bourses puis le tube principal. Je l’ai arrêté dans son mouvement, il est resté figé, redoutant mes prochains mots. Je l’ai regardé droit dans les yeux.

— Ça sera mieux avec les pointes.

Il a murmuré.

— Pas les pointes.

— C’est ce que je veux et qu’est-ce qui se passe quand je veux quelque chose ?

Il a soupiré.

— C’est un ordre divin. Il ne peut pas en être autrement. Les femmes ont tous les pouvoirs sur moi et c’est ce que je veux. Obéir est ma nature est j’accepte ma nature sans résister.

— Brave petit.

Il a tendu la main pour prendre la barrette contenant les pointes. Il l’a rajouté à l’intérieur, l’accrochant sur la barre transversale pour l’empêcher de bouger. Outre la réduction de place à l’intérieur du tube sa queue se retrouvait sous la menace d’ergots. En cas d’excitation ils allaient titiller ses zones les plus sensibles pour lui rappeler l’interdit que j’avais posé. Ses érections ne seraient plus seulement contenues mais elles seraient punies. C’est une sentence terrible pour un homme.

Je ne les lui mets que rarement, ce jour-là j’estimais qu’il était d’humeur à tester ses limites donc je n’allais pas me priver. Il devait expérimenter la difficulté pour éviter de trop ce plaindre lorsqu’il repasserait à la cage normale. C’est comme un prisonnier que vous mettez en haute sécurité pour qu’une fois de retour en cellule la simple menace d’y retourner soit efficace pour le garder sous contrôle.

Je sais que lorsque je lui retire les pointes il a généralement les larmes aux yeux de bonheur, il n’arrête pas de me remercier, comme si je venais de lui sauver la vie. C’est aussi pour ça que je les lui mets parfois en fin de soirée pour qu’il soit davantage motivé au lit, elles ont un effet génial sur sa créativité sexuelle.

Une fois en place j’ai verrouillé sa cage, un clic sec et c’était fini, désormais il était pris au piège pour longtemps.

Je lui ai bien montré la clé avant de l’attacher à la chainette que j’avais autour du cou. Quelques instants plus tard elle avait disparu sous mes vêtements, bien au chaud entre les seins. Il parait que parfois il me regarde le torse en essayant d’imaginer ses contours. En réalité je range la clé assez vite pour éviter de la perdre, ce n’est qu’un détail, l’important c’est qu’il y croit.

Je l’ai de nouveau embrassé sur la joue.

— Tu connais la règle, les pointes te laissent tranquille tant que tu es sage. Par contre si tu es vilain ça sera l’enfer.

J’ai glissé pour l’embrasser sur les lèvres en finissant par les lui mordiller.

— Et n’oublis pas que si tu te plains te ta cage je m’occuperais de ta chasteté moi-même. Et tu sais à quel point je peux te faire vivre un enfer.

— Oui.

En fait il n’a pas la moindre idée de ce que cela signifiait et moi de même. C’était juste une formule consacrée.

J’ai ricané devant ses grimaces. Je n’avais pas besoin de regarder vers le bas, rien qu’à voir les larmes dans ses yeux je savais que les pointes avaient commencé à lui apprendre que la chasteté absolue est un supplice sérieux.

C’est terrible de se voir privé d’orgasme mais ça n’a rien à voir avec le fait d’être complètement privé de plaisir. Le simple fait de durcir était désormais réprimé.

J’ai été prise de pitié pour lui.

— C’est toi qui t’impose ça pas moi. Si tu respectais l’interdiction d’avoir des érections tu ne souffrirais pas. C’est ta faute.

Entre deux grimaces il a répondu.

— Oui chérie.

Il était bien trop malin pour faire le moindre commentaire négatif, il savait que plus il se plaindrait plus il les garderait longtemps. Après une castration pareille les hommes deviennent très dociles.

J’avais très envie de lui, j’étais très excitée par sa souffrance mais chaque chose en son temps, je devais laisser sa frustration monter avant de m’en servir.

— Tu ne m’avais pas promis quelque chose ? Tu comptes me faire attendre ?

Il a secoué la tête avant de se relever et de marcher à moitié recourbé vers la baignoire pour me préparer un bon bain plein de mousse.

J’avais été cruelle avec lui et j’avais en récompense un bain chaud, entouré de bougies parfumées, c’était le paradis. Il s’est éloigné pour préparer le repas, traînant son « boulet entre les jambes » du mieux qu’il pouvait. L’orgie de films porno qu’il avait fait juste avant était désormais bien loin.

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